Un deuxième roman ?
J’avais encore plein d’idées alors je me suis lancée et j’ai rédigé mon deuxième roman. Si vous avez trouvé le premier un peu triste, le deuxième est bien pire. Il raconte l’histoire d’une vie vécue à la place d’un autre. L’histoire est continue, en fond, elle présente une réflexion sur la vie sous forme d’une pensée développée par chapitre. J’espère toujours que cela vous fera réfléchir sur le sens de votre propre vie. Par cet écrit, je vous livre mon ressenti face à une histoire vécue.
En effet, mon deuxième roman est inspiré d’une histoire vraie. Le fond est juste et vécu tandis que la forme est ressentie et imaginée afin de former un roman, agréable à lire, à comprendre et sur lequel vous pourrez réagir. Car, comme toujours, j’attends votre retour de lecture avec impatience.
Avoir vos retours de lecture par rapport au premier roman, écrit de mes mains, est un réel enchantement. Car, pour l’instant, je n’ai reçu que des retours positifs. Vous êtes enchantés, vous l’avez relu plusieurs fois. Vous avez trouvé le message positif que je voulais faire circuler à travers mes pensées écrites. Pour la plupart des pensées, donc des chapitres, vous voyez les choses comme moi. Mais effectivement, ce n’est qu’une fois qu’on les lit que l’on s’en rend compte. Et là, vous vous dites “Ha mais c’est vrai ça…” Et ça me remplit de joie!
Plusieurs d’entre vous m’ont demandé si j’avais relu mon propre bouquin et la réponse est: “Oui, bien évidemment !” Pas évident de se mettre à la place du lecteur car je sais que je suis en train de me relire, moi. Mais c’est agréable de tenir son propre livre en mains, de réaliser et de se dire: “C’est moi qui ai écrit cela!”
C’est tout bonnement magique de voir son œuvre en bouquin physique, de lire son nom sur la couverture et de se dire que des millions de personnes peuvent me lire. Elles peuvent lire mes pensées, la façon que j’ai de voir le monde et ceux qui m’entourent. Elles peuvent rentrer dans ma tête, simplement en me lisant. Et je constate que cela vous plait, alors je continue !
Vous êtes également nombreux à me demander: “à quand le prochain roman?” Et bien, il arrive. Au moment où j’écris ce texte, la maison d’impression est en plein travail de production de mon deuxième roman. Pour ce début de nouvelle année, vous aurez donc la possibilité de vous procurer mon deuxième livre.
Pour réaliser celui-ci, je n’ai plus travaillé avec une maison d’édition, j’ai opté pour l’auto-édition. Et je me suis donc tournée vers la maison d’impression belge “Le livre en papier”. Des personnes dévouées, présentes, qui font leur métier avec passion et détermination. Heureusement que je les ai trouvées. Je suis ravie de pouvoir confier mon ouvrage à des Belges, étant Belge moi-même.
C’est avec grand plaisir, une joie extrême et une excitation sans nom que j’attends ma commande d’exemplaires. J’ai vraiment hâte de vous le présenter, de vous le montrer. Vu le parcours réalisé et l’expérience vécue, je suis d’autant plus fière de vous dire que je suis partie en auto-édition ! C’est une sacrée décision et plus les choses avancent et plus je pense avoir bien fait!
Fière de moi, de mon travail, je ne cesserai jamais d’écrire. Les idées affluent, vont et viennent. Je les couche rapidement sur le papier avant qu’elles ne disparaissent. Elles se transforment en texte (comme celui-ci), en idée de nouvelle, en idée de chapitre et plus tard en idée de roman. Les cahiers et autres bloc-notes se remplissent à une vitesse folle. D’ailleurs si vous ne savez pas quoi m’offrir pour un prochain anniversaire, je veux bien des cartouches de réserve pour mon stylo. Car elles se vident plus vite que les cahiers ne se remplissent. C’est affolant !
Et oui, j’écris sur du papier, avec mon stylo. Je prends des notes au vol, je les remets dans mon cahier, à côté de deux autres post-its. Dès que j’ai le temps, je m’installe, reprends mes notes et j’en fais quelque chose. Selon la base de ce que j’ai écrit, la note se transforme en texte plus ou moins court. Une fois satisfaite, je retape le tout sur mon ordinateur afin de remettre le tout au propre. Au moment de recopier, les idées affluent encore et le texte se complète alors aisément.
Tout cela pour vous dire que je ne suis pas prête de m’arrêter. Et c’est grâce à vous ! Grâce à vos avis, vos commentaires, vos questions, formant vos retours de lecture. C’est vous qui me poussez et me confortez dans l’idée d’écrire encore et encore. Alors, je continue et j’espère ne jamais vous décevoir. J’espère continuer à vous faire réfléchir, à vous faire penser et penser encore. Je veux vous voir classer mon livre dans votre bibliothèque en vous disant : “Celui-là, je le relirai bien!”