Réflexions
Fleur ou mollusque?
Vous vous levez, vous dites bonjour. On vous donne quelque chose, vous dites merci. Vous demandez quelque chose ou un conseil, vous dites s’il vous plaît. Vous vous couchez ou quittez un endroit, vous saluez ou dites au revoir. Ça c’est la théorie.
La main
On m’a coupé la main, on m’a privé de ma capacité à écrire. Je ne peux plus m’exprimer en toute liberté. Je n’ai plus le choix, je dois me taire. Et pourquoi ? Parce que je n’y arrive plus.
Sur la route
Il y a 10 ans d’ici, je passais l’examen du permis de conduire pour la deuxième fois et je le réussissais. Il y a 10 ans d’ici, j’étais une gamine, une vraie et je ne savais pas du tout à quoi m’attendre sur la route.
Monter à cheval
Monter à cheval, c’est un sport. Celui qui prétend le contraire n’y connaît rien ou il n’a jamais testé.
J’ai écrit un livre, et vous ?
Dès que je vois une page blanche, j’ai juste envie de m’équiper d’un stylo et d’y écrire mes pensées du moment. Là, une page blanche et déjà mes pensées s’y perdent. Vous savez, j’ai écrit un livre. Et je l’ai vu, en ligne, disponible à la vente.
La portée des mots
On écrit toujours « profite un max » sur les cartes d’anniversaire, mais pourquoi ? On veut souhaiter à l’autre de profiter le plus possible, mais profiter de quoi ? De la vie qu’il a ? De la vie qu’il pourrait avoir ? De la vie qu’il est en train de se construire ?
Bonne fête papa !
Pas besoin de jour spécifique pour écrire sur lui. Mais bon, je vais en profiter puisque c’est la fête des pères ce week-end. Petit rappel pour ceux qui auraient oublié. De rien, c’est avec plaisir.
L’amour
L’amour, sujet difficile, s’il en est. Oserais je écrire à ce propos ? Oh que oui ! Je vais me lancer, écrire sur ce que je connais et vous donner mon avis, toujours par rapport à ma propre expérience.
Bonne fête Mounette !
Pas besoin d’un jour spécifique au calendrier pour mettre à l’honneur cet être unique qu’est ma mère. Elle est là, toujours pour moi. J’ai l’impression que quoi que je dise, quoi que je fasse, elle sera toujours là, elle ne m’abandonnera pas.
Mes frères
Aujourd’hui, j’ai regardé mes frères un peu plus intensément que les autres jours. J’ai regardé le premier et j’ai vu ses rides. De petites lignes bien marquées partant du coin extérieur de ses yeux. J’ai regardé mon deuxième frère et je l’ai vu, l’air fatigué, appuyé sur sa chaise. Tous deux indépendants, tous deux fiers de l’être, tous deux endurcis par le travail, tous deux fatigués de leur journée et bientôt épuisés de leur semaine.
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